Critique du CHUCKY LES BONS TUYAUX
Andy Barclay vient d'emménager avec sa mère célibataire Karen ( Aubrey Plaza ) et se débat toujours avec son nouveau lieu de résidence. Un jour, Karen, qui travaille sur le marché du jouet local, se procure une de ces "poupées Buddi" totalement branchées. Pas la dernière génération, mais Andy est en feu car il voit de quoi ce petit copain est capable. Si seulement les deux savaient que la bosse en plastique baptisée avec amour Chucky n'est pas aussi confiante que ses jumeaux dans leurs emballages ...Il y a un peu plus d'un an, nous avons d'abord rendu compte d'un redémarrage de Chucky et au début, nous étions plus que sceptiques (hein , Robin? ). Même avant la visite au cinéma, rien n’avait changé, car comment l’incomparable Brad Dourif de Chucky - La poupée tueuse pourrait-il être remplacé? Quelques heures plus tard, nous sommes clairement soulagés et faisons semblant de n'avoir jamais rien fait d'autre que faire confiance à Mark Hamill pour synchroniser un tueur terrifiant.
Et avec cela, nous sommes déjà sur les mérites de Child's Play , parce que le film est très différent à part quelques détails et est extrêmement rafraîchissant. Pourtant, il y a une mère célibataire avec un fils (un peu moins enfantine que l'originale, quelqu'un doit pouvoir servir l'application Buddi), un policier bourdonne dans les environs et l'idée de base est un jouet qui présente un dysfonctionnement étrange. - il y a aussi. Mais c'est à peu près tout, car les détails de l'action sont agréablement différents du premier film.
À ce stade, ne trahissez pas trop, mais Chucky fait ce qu’il fait de mieux, comme il le fait depuis plus de trente ans, réduisant la vitalité de son environnement. Là où des marteaux et des explosions originaux ont été utilisés, nous vivons cette fois des types de mort très différents, qui suivent un chemin progressif, mais qui jouent également un rôle important dans la boîte à slasher typique et devraient donc plaire aux fans de films d'horreur classiques.
Oui, on aurait certainement pu tirer quelque chose de plus substantiel du sujet de "technologie qui se retourne contre Mutti". Mais ce n’est pas l’affirmation, et le sujet peut donc aussi être calme pour une comédie d’horreur peu profonde. Ainsi, en une heure et demie de divertissement, des sujets tels que la technologie moderne, les réseaux, la surveillance, la conduite autonome et même une petite marge de manœuvre face à des conditions de production inhumaines, abordent de manière dérangeante mais simple la question du soulagement technologique. Tous, bien sûr, avec un œil clignotant, mais un voyou, qui pense (pas) mauvais.
Chucky est étrangement moche (on se demande vraiment si les fabricants ont juste voulu montrer à quel point nous sommes tous stupides et courons après les derniers trucs techniques) et n’est donc en aucun cas la poupée originale. En fait, Child's Play est devenu un amusement horrible et divertissant pour l'été, qui ne détruit aucun arbre, mais s'inscrit de manière thématique en 2019 et se tient debout tout seul. Les fans de l'original ne découvriront pas beaucoup de points de liaison, mais ce n'est pas un inconvénient.
Pour plus d'informations sur le flm : https://hitek.fr/test/paramount-pictures-childs-play-la-poupee-du-mal_1701
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